De la peinture préhistorique au scrapbooking
Des peintures rupestres à la photographie
Il y a bien longtemps, les anciens des familles et des villages racontaient des événements passés, leurs traditions et des anecdotes aux plus petits d'entre eux pour que ces histoires se transmettent aux générations futures.
Petit à petit, les hommes ont commencé à peindre ces histoires sur des murs, puis sur du tissu et après sur du papier.

Lorsque la photo est apparue au milieu du 19ème siècle, on les a mêlées à ces peintures créant ainsi le scrapbooking.

Celui-ci permet donc de mettre en scène des souvenirs. Le scrapbooking a beaucoup évolué depuis son invention grâce à de nouveaux matériaux inventés depuis tel que le plastique.

Apparition des loisirs créatifs
Ce loisir créatif existe aux États-Unis depuis longtemps et était connu en France sous des appellations diverses (collage, patchwork, artisanat du livre). Tombé en désuétude, il revient en France avec Marie-Dominique Gambini. Celle-ci, après une expatriation à Boston, lance à Lyon les premiers ateliers.
Elle médiatise le scrapbooking grâce à un important article dans Le Progrès/Lyon-Matin, suivi d'une série d'articles dans Créamania, Modes & Travaux et Top Famille. Un reportage complet au JT de TF1 permet à ce loisir créatif de sortir des frontières du Rhônes-Alpes pour se répandre partout en France. Il connaît un très fort essor, comme en témoigne la croissance du nombre de sites de vente en ligne de matériel. Elle écrit le premier livre en français sur le scrapbooking.
Pour répondre aux demandes de formations qui arrivent des quatre coins de l'Hexagone, des stages intensifs sont organisés. Face au développement impressionnant de cette activité, et afin de mieux répondre à la demande croissante de formations (on vient aujourd'hui aussi de Suisse, de Belgique, d'Allemagne et du Texas), l'École Lyonnaise de Scrapbooking a été créée.
Souces : Wikipédia
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